Canada
la capacité d’accueil avant les chiffres

Alors que le Québec se penche sur la query de l’immigration, un side revient constamment dans les discussions : la capacité d’accueil en région. Bien plus que la easy query du nombre d’immigrants à accepter, c’est la qualité et l’efficacité des mesures d’intégration qui se trouvent au cœur du débat.
L’experience des organismes locaux
De nombreux organismes communautaires ont récemment exprimé, lors des consultations sur l’immigration, l’significance de la capacité d’accueil. Pour eux, il est essentiel que le gouvernement fasse confiance à leur experience pour garantir une intégration réussie des immigrants.
Les besoins en ressources, qu’elles soient humaines, matérielles ou financières, augmentent avec le nombre d’individus à intégrer. C’est particulièrement vrai pour les travailleurs temporaires qui nécessitent des companies adaptés et intensifs, et dont l’intégration est souvent prise en cost par des organismes locaux.
Les besoins spécifiques des immigrants
Chaque immigrant a des besoins particuliers, en fonction de son statut et de sa state of affairs. Les demandeurs d’asile, par exemple, devraient avoir le même accès aux companies de garde que tout autre immigrant, selon Alain Brebion de la MRC de Montmagny.
Les efforts de francisation, par ailleurs, semblent ne pas répondre aux besoins réels des immigrants. Les démarches actuelles peuvent même devenir un impediment à l’intégration.
L’significance de financer adéquatement les régions
Toutes les régions du Québec ne sont pas égales en termes d’attraction et de capacité d’accueil. Des régions comme la Gaspésie ont besoin de financements spécifiques pour compenser leur faible dynamisme démographique. Il est essential de reconnaître les spécificités régionales et de moduler les aides en fonction des réalités locales.
Concurrence avec le reste du Canada
L’Affiliation du Barreau canadien, ainsi que d’autres establishments, a exprimé ses préoccupations quant à l’attractivité du Québec face au reste du Canada. Les délais d’immigration plus longs, associés à l’obligation de maîtriser le français, pourraient décourager de nombreux immigrants potentiels.
Walter Chi-Yan Tom du Concordia Scholar Union a également souligné le risque que représente l’exclusion des étudiants anglophones du Programme de l’expérience québécoise.
Une immigration réussie
Pour garantir une immigration réussie au Québec, il est essentiel de replacer la capacité d’accueil au centre des préoccupations. Cela implique de reconnaître l’significance des acteurs locaux, d’adapter les companies aux besoins des immigrants et de rendre le Québec aussi attractif que potential face à ses concurrents.
Supply : Le Devoir