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La ratification du Partenariat commercial transpacifique signifie que les Malaisiens peuvent désormais travailler au Canada

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Suite à la ratification par la Malaisie dans le cadre de la Accord global et progressiste de partenariat transpacifique (PTPGP), les citoyens du pays peuvent désormais travailler plus facilement au Canada.

La ratification offre des opportunités aux visiteurs d’affaires, aux personnes transférées à l’intérieur d’une entreprise, aux professionnels et aux techniciens sous la Programme de mobilité internationale (LUTIN).

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Fin novembre de l’année dernière, le CPTPP a été élargi pour inclure la Malaisie, portant à neuf le nombre total de pays sous l’accord.

Ceux-ci inclus:

  • Canada;
  • Australie;
  • Japon;
  • Malaisie;
  • Mexique;
  • Nouvelle-Zélande;
  • Singapour;
  • Viêt Nam, et ;
  • Pérou.

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Lorsque l’accord a été conclu fin décembre 2018, il ne comprenait que six pays, dont le Canada. Ensuite, le Vietnam est arrivé à bord début 2019, le Pérou fin 2021 et la Malaisie l’année dernière.

En vertu du PTPGP, les visiteurs d’affaires sont exemptés de l’obligation d’obtenir un permis de travail d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) et les investisseurs, les personnes mutées à l’intérieur d’une entreprise ainsi que les professionnels et techniciens sont épargnés des tracas d’un Évaluation de l’impact sur le marché du travail (EIMT).

“Les permis de travail peuvent être prolongés à la discrétion de l’agent évaluant la demande, à condition que les pièces justificatives nécessaires aient été soumises par le demandeur à l’appui de la demande”, note l’IRCC sur son site Internet.

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« Prolonger un CPTPP permis de travaill’employeur doit soumettre une nouvelle offre d’emploi et le demandeur doit se conformer aux exigences régulières de prolongation du permis de travail.

Les documents acceptables à l’appui d’une prolongation d’un permis de travail dans cette circonstance comprennent :

  • une justification de l’extension du contrat de service par l’entreprise offrante ;
  • plans d’affaires mis à jour;
  • une offre pour un nouveau contrat, ou ;
  • études de faisabilité et plans de commercialisation.

« En fonction de la nationalité du demandeur principal, l’autorisation de travail pour les conjoints accompagnateurs est également facilitée, à l’exception des visiteurs d’affaires », note l’IRCC. “Pour les conjoints, la durée du séjour, y compris les prolongations, doit être la même que celle du demandeur principal.”

Les visiteurs d’affaires peuvent rester au Canada pendant six mois en vertu du PTPGP et peuvent obtenir une prolongation

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Un permis de travail ouvert peut être délivré au conjoint d’un investisseur, d’un professionnel, d’un technicien ou d’un cessionnaire intra-entreprise si le demandeur principal est l’un des suivants :

  • un citoyen australien, japonais ou mexicain ;
  • un résident permanent de l’Australie, ou ;
  • un citoyen malaisien pour un cessionnaire intra-entreprise (cadres et managers uniquement).

Dans le cadre du PTPGP, les visiteurs commerciaux des pays membres peuvent séjourner six mois au Canada, avec des prolongations possibles. Le Canada a des engagements réciproques avec tous les membres du PTPGP avec des exigences différentes pour chaque membre.

Les personnes transférées au sein d’une société peuvent rester jusqu’à trois ans au Canada, avec des prolongations possibles, et les investisseurs peuvent rester au Canada jusqu’à un an, avec des prolongations possibles.

Les professionnels et techniciens hautement qualifiés peuvent séjourner jusqu’à un an au Canada, avec des prolongations possibles.

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Les engagements du Canada envers les professionnels et les techniciens sont assujettis à des exigences en matière de connaissances, d’éducation, d’expérience et de salaire.

Les exigences professionnelles comprennent :

  • application théorique et pratique des connaissances spécialisées;
  • diplôme d’études postsecondaires de quatre années d’études ou plus;
  • deux ans d’expérience professionnelle rémunérée dans le domaine, et;
  • une rémunération conforme au salaire en vigueur dans la profession.

Les exigences pour les techniciens comprennent:

  • application théorique et pratique des connaissances spécialisées;
  • diplôme postsecondaire ou technique de deux années d’études ou plus;
  • quatre ans d’expérience professionnelle rémunérée dans le domaine, et;
  • une rémunération conforme au salaire en vigueur dans la profession.

Le PMI permet aux employeurs canadiens d’embaucher des travailleurs étrangers avec un permis de travail canadien sans avoir besoin d’une EIMT.

La raison d’être de l’exemption du processus d’EIMT est qu’il s’agit de postes qui offrent de vastes avantages économiques, culturels ou autres avantages concurrentiels pour le Canada, ainsi que des avantages réciproques pour les citoyens canadiens et les résidents permanents.

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Les travailleurs qui entrent au Canada dans le cadre du PMI doivent être admissibles dans le cadre des traités commerciaux, comme le Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) ou le Accord économique et commercial global (CETA) – ou le CPTPP.

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