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Les Canadiens soutiennent massivement l’immigration record dans le pays, révèle un sondage

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Les Canadiens sont maintenant plus favorables à une immigration record et au rôle du pays dans l’accueil réfugiés du monde entier qu’ils ne l’ont été depuis des décennies révèle un sondage de l’Environics Institute.

« Même si le pays accueille plus de 400 000 nouveaux arrivants chaque année, sept Canadiens sur 10 expriment leur soutien aux niveaux d’immigration actuels, la plus grande majorité enregistrée dans les sondages d’Environics en 45 ans », note Environics.

Les résultats de l’enquête arrivent alors que le Canada est sur le point d’accueillir 463 860 nouveaux résidents permanents d’ici la fin de cette année, selon la tendance des huit premiers mois.

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À la fin du mois d’août, le Canada avait déjà accueilli 309 240 nouveaux résidents permanents, soit une moyenne de 38 655 par mois.

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Le courant d’Ottawa Plan des niveaux d’immigration pour 2022-2024 fixe des objectifs d’immigration de 431 645 nouveaux résidents permanents pour cette année, 447 055 l’année prochaine et 451 000 en 2024.

Cela signifie que le Canada devrait dépasser son objectif d’immigration pour cette année de 32 215 nouveaux résidents permanents, soit près de 7,5 %, si la tendance actuelle se poursuit pendant le reste de l’année.

À 463 860 nouveaux résidents permanents, le taux d’immigration du Canada serait encore plus élevé que l’objectif ambitieux fixé pour l’an prochain et même 2024, dépassant de plus de 2,8 % l’objectif fixé d’ici deux ans.

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Le mois dernier, deux initiés du Parti libéral du Canada au pouvoir ont appelé à une immigration beaucoup plus importante dans le pays dans une lettre ouverte publiée dans Le poste financier.

L’ancien ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie Navdeep Bains et son ancien chef de cabinet en 2016 et 2017, Elder C. Marques, ont recommandé dans cette lettre que le Canada devienne encore plus ambitieux avec ses objectifs d’immigration.

«Le Canada mérite des éloges pour notre approche des niveaux d’immigration», ont écrit les deux dans leur lettre en
Le poste financier. « Mais même si les chiffres absolus peuvent sembler élevés, ils doivent en réalité l’être compte tenu de la population du Canada et des défis démographiques.

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Le pays a besoin d’encore plus d’immigration, déclare l’ancien ministre du gouvernement libéral

« Au début des années 1910, un Canada beaucoup plus petit accueillait des chiffres absolus annuels similaires à ceux d’aujourd’hui. Relever les cibles d’immigration de manière responsable et efficace nécessitera davantage d’investissements dans les infrastructures, le logement, le transport en commun et les services de réinstallation dans tout le pays, ce qui signifie une meilleure collaboration fédérale-provinciale.

Maintenant à la retraite de la politique depuis l’an dernier, Bains est actuellement vice-président des services bancaires d’investissement mondiaux pour la CIBC. Pendant son mandat de ministre du Cabinet fédéral, Bains a travaillé en étroite collaboration avec le Conseil consultatif sur la croissance économique, un groupe qui préconisait de porter l’objectif annuel d’immigration du Canada à 450 000 personnes par an.


Regarder la vidéo sur l’immigration au Canada

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Elders, maintenant associé au cabinet d’avocats Blake, Cassels & Graydon, a également été conseiller principal du premier ministre Justin Trudeau pendant un peu plus de deux ans de 2017 à 2019, puis chef de cabinet du ministre des Finances au gouvernement libéral avant de retourner à la pratique privée.

Leur point de vue sur l’immigration est partagé par la plupart des Canadiens, révèle le sondage d’Environics.

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« Le soutien public à l’immigration est fondé en partie sur la conviction qu’elle soutient l’économie du pays, et le consensus public autour de ce point de vue s’est renforcé au cours de la dernière année », révèle le sondage d’Environics.

« Plus de huit sur 10 maintenant fortement, à 50 %, ou plutôt, à 35 %, conviennent que l’immigration a un impact positif sur l’économie canadienne, en hausse de cinq points de pourcentage depuis 2021 et maintenant à son plus haut niveau depuis que la question a été posée. demandé pour la première fois.

Les Albertains sont les plus susceptibles de remettre en question la légitimité des réfugiés au Canada

Seulement environ un Canadien sur 10 est d’avis que l’immigration n’apporte aucun avantage économique au pays.

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« Pendant une grande partie des 35 dernières années, les Canadiens ont eu tendance à croire que de nombreux prétendants au statut de réfugié ne sont en fait pas légitimes, et bien que cette opinion ait diminué avec le temps, le public continue d’être quelque peu divisé sur cette question », rapporte Environics.

« Un peu plus d’une personne sur trois maintenant fortement, à 15 %, ou plutôt, à 21 %, est d’accord… que « de nombreuses personnes prétendant être des réfugiés ne sont pas de vrais réfugiés]», note Environics.

La principale pomme de discorde entre les Canadiens et l’immigration n’est pas le niveau d’immigration, mais la capacité de ces immigrants à s’intégrer à la société canadienne et à sa culture – et la légitimité de ceux qui demandent le statut de réfugié.

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« Partout au pays, les inquiétudes concernant la légitimité des réfugiés ont sensiblement augmenté au Canada atlantique… en hausse de huit points depuis 2021, et dans une moindre mesure au Québec… en hausse de quatre points de pourcentage et en Ontario… en hausse de points de pourcentage, tout en diminuant en Colombie-Britannique, en baisse de six points. points de pourcentage.”

Les Albertains sont les plus susceptibles d’être d’avis que de nombreux réfugiés ne sont pas de «vrais réfugiés», révèle l’enquête.

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