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Les enfants immigrants grandissent pour gagner plus que leurs pairs nés au Canada, selon les données

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Les immigrants qui sont arrivés au Canada alors qu’ils étaient enfants grandissent pour gagner moins que les autres Canadiens au début de la vingtaine, mais gagnent plus au moment où ils atteignent la trentaine, révèlent les dernières données de Statistique Canada.

Dans son Les résultats économiques des immigrants déclarants admis en tant qu’enfants se comparent à ceux des contribuables canadiens selon l’âge à l’imposition en 2020 rapport, l’agence des services statistiques et démographiques documente la capacité de gain supplémentaire des immigrants qui arrivent au Canada lorsqu’ils atteignent l’âge de 30 ans.

Ces données montrent que les immigrants ont gagné un revenu annuel médian de seulement 8 400 $, soit près du tiers de moins, 29,4 %, par rapport au revenu médian annuel de 11 900 $ pour tous ceux qui ont produit des déclarations de revenus en 2020.

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Et les immigrants continuent de gagner moins en moyenne que les Canadiens jusque dans la vingtaine.

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Puis, à 26 ans, les données montrent que les immigrants commencent soudainement à gagner plus que leurs concitoyens canadiens. À l’âge de 30 ans, les données montrent que les immigrants gagnent plus que leurs concitoyens canadiens de près de 8,6 %, les immigrants gagnant un revenu annuel moyen de 50 200 $, comparativement au revenu annuel médian de 46 230 $ de l’ensemble des Canadiens.

La raison des écarts de revenu entre les immigrants et les autres Canadiens est attribuable à leur niveau de scolarité plus élevé. Les familles immigrantes encouragent leurs enfants à poursuivre leurs études et à obtenir plus souvent des diplômes supérieurs.

À tous les âges, beaucoup plus de contribuables immigrants ont déclaré des frais de scolarité postsecondaire que le Canadien moyen.

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Au moment où ils atteignent l’âge de 30 ans et plus – moment auquel la plupart des étudiants universitaires sont dans des programmes d’études supérieures – plus d’un tiers des contribuables immigrants, 33,7 pour cent, ont déclaré des frais de scolarité postsecondaires sur leurs déclarations de revenus par rapport à à peine plus du quart, soit 27,2 %, de tous les Canadiens.

Avec cette plus grande éducation et des diplômes plus avancés, les immigrants sont souvent en mesure de décrocher des emplois mieux rémunérés.

Ces dernières données appuient les observations tirées des rapports précédents de Statistique Canada sur le potentiel de gain et les tendances en matière de scolarité chez les immigrants au Canada.

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Dans son Résultats socioéconomiques des immigrants admis au Canada alors qu’ils étaient enfants, 2019 publié l’an dernier, Statistique Canada a également noté que les enfants d’immigrants économiques au Canada gagnaient moins que le travailleur canadien moyen, 15,5 % de moins à 20 ans, parce qu’ils étaient plus susceptibles de suivre des cours.

Des niveaux de scolarité plus élevés chez les immigrants les aident à décrocher des emplois mieux rémunérés

« À 20 ans, les immigrants qui ont été admis alors qu’ils étaient enfants avaient des salaires médians inférieurs, 10 900 $, à ceux de l’ensemble de la population canadienne de 12 900 $ », note le rapport. « Ceci est associé à la participation plus élevée des immigrants aux études postsecondaires. »

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Les auteurs de ce rapport de Statistique Canada ont laissé entendre que la raison pour laquelle un si grand nombre d’enfants d’immigrants économiques fréquentent l’université ou le collège tient aux critères utilisés dans le Système de classement complet (CRS) pour sélectionner les candidats les plus susceptibles de réussir au Canada.

« Le processus de sélection du Canada pour les candidats principaux économiques met fortement l’accent sur leur éducation, leurs compétences et leur expérience de travail », a noté Statistique Canada. “En conséquence, la majorité des contribuables immigrants admis dans cette catégorie ont terminé des études postsecondaires au moment de leur admission.”


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Comme leurs parents ont tendance à être plus scolarisés, les enfants de ces immigrants économiques ont tendance à suivre les traces de leurs parents et à poursuivre également des études supérieures.

« Les immigrants admis en tant qu’enfants de familles d’immigrants économiques ont une participation aux études postsecondaires beaucoup plus élevée que leurs homologues admis dans d’autres catégories d’immigration, en particulier au début de l’âge adulte », a noté Statistique Canada.

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« En 2019, 75,4 % des immigrants de 20 ans admis en tant qu’enfants de familles d’immigrants économiques ont suivi des études postsecondaires.

Les enfants de réfugiés sont les moins susceptibles d’aller au collège ou à l’université

Cela, comparativement à un taux de participation aux études postsecondaires de 60,7 % pour les enfants qui sont arrivés au Canada sous Parrainage familial programmes et 58,9 % pour l’ensemble de la population canadienne. Les immigrants admis en tant qu’enfants de réfugié les familles avaient la plus faible participation aux études postsecondaires à 20 ans, seulement 53,9 % d’entre elles poursuivant des études collégiales ou universitaires.

Un bon moyen pour les travailleurs étrangers d’immigrer au Canada consiste à utiliser le système Entrée express, qui gère la réception des demandes d’immigration du Canada et permet aux candidats qui répondent aux critères d’admissibilité de soumettre un profil en ligne, connu sous le nom de Manifestation d’intérêt (EOI)dans le cadre de l’un des trois programmes fédéraux d’immigration du Canada ou d’un programme d’immigration provincial participant au Piscine d’entrée express.

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Les profils des candidats sont classés les uns par rapport aux autres selon le système de points CRS, les candidats les mieux classés étant considérés pour Invitations à postuler (ITA) pour la résidence permanente. Les bénéficiaires d’un ITA doivent soumettre rapidement une demande complète et s’acquitter des frais de traitement, dans un délai de 60 jours.

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