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Programme Étudier et réussir pour retenir les étudiants internationaux lancé par le Nouveau-Brunswick

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Le Nouveau-Brunswick tente de séduire les internationaux avec un nouveau programme pour les encourager à rester après l’obtention de leur diplôme.

« La croissance de notre population est essentielle pour répondre aux besoins futurs en main-d’œuvre, et l’accès à des talents qualifiés est crucial pour les entreprises du Nouveau-Brunswick de toutes tailles », a déclaré la ministre provinciale de l’Immigration, Arlene Dunn.

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« Non seulement les étudiants internationaux sont un élément essentiel de notre vivier de talents, mais ils contribuent également énormément à rendre notre province plus diversifiée et inclusive. »


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Le programme Étudier et réussir au Nouveau-Brunswick d’un million de dollars et d’une durée de trois ans offre aux diplômés internationaux un accès à des ressources, du soutien et des relations dans le but d’accroître la disponibilité de main-d’œuvre qualifiée dans la province.

Le programme est financé par Opportunités NB et l’Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) dans le cadre de son programme Croissance économique régionale par l’innovation (REGI). Chaque agence débourse environ 500 000 $.

REGI est un programme national d’innovation visant à développer des clusters industriels et technologiques régionaux et des écosystèmes d’innovation régionaux.

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« Le gouvernement du Canada, par l’entremise de l’APECA, est fier d’appuyer des projets comme l’initiative Étudier et réussir d’Opportunités NB, qui fournit aux étudiants internationaux des cycles supérieurs les outils, la formation et les contacts professionnels dont ils ont besoin pour rester au Nouveau-Brunswick », a déclaré la députée de Fredericton, Jenica Atwin.

“En créant les bons réseaux et les bonnes opportunités, nous favorisons l’inclusion et renforçons nos communautés dynamiques et diversifiées.”

La décision du Nouveau-Brunswick de retenir davantage ses étudiants internationaux fait suite à un rapport du Conference Board du Canada publié à la fin de l’année dernière qui demandait à Ottawa d’augmenter le nombre d’étudiants internationaux que les provinces peuvent nommer par le biais de leurs Programmes des candidats des provinces (PNP).

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“Le PNP est le moyen le plus courant pour les anciens étudiants internationaux de devenir des résidents permanents”, a noté le groupe de réflexion à but non lucratif dans son rapport, Après l’école : Garder les étudiants internationaux dans la province.

« Une augmentation des créneaux PNP pour les étudiants internationaux peut faciliter leur séjour au Canada, ce qui peut faciliter la rétention dans les provinces d’études.

Les provinces sont invitées à mettre en place davantage de services d’établissement pour les étudiants

Le Conference Board du Canada a également souligné dans ce rapport l’importance de l’amélioration des services d’établissement offerts par les provinces, comme le fait actuellement le Nouveau-Brunswick, pour aider les étudiants internationaux qui demandent leur résidence permanente au Canada.

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« La période post-études peut être précaire. Les étudiants internationaux traversent la transition vers le marché du travail et le système d’immigration sans avoir accès aux services d’établissement financés par le gouvernement fédéral », a noté le Conference Board du Canada.

« Les provinces peuvent stimuler la rétention en veillant à ce que les étudiants internationaux reçoivent le soutien de leur établissement postsecondaire et des services d’établissement financés par la province.

« Un investissement précoce des gouvernements provinciaux dans la réussite des étudiants internationaux les aidera à bâtir une carrière et des liens communautaires, ce qui, en fin de compte, favorisera la rétention.

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Les universités et collèges du Canada jouissent d’une très solide réputation dans le monde entier.

Dans le neuvième classement annuel des meilleures universités mondiales de 2 000 de ces établissements d’enseignement à travers le monde, trois universités canadiennes – l’Université de Toronto (UofT), l’Université de la Colombie-Britannique (UBC) et l’Université McGill – se sont classées parmi les 100 meilleures.


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Et 15 autres universités canadiennes se sont classées dans le quart supérieur des 2 000 meilleures universités classées.

L’Université de Toronto a été classée 18e. L’UBC s’est classé 35e. L’Université McGill a été considérée comme la troisième meilleure université au Canada.

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Alors que l’année dernière touchait à sa fin, les données d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) laissaient entrevoir l’énorme potentiel d’augmentation de l’immigration dans le pays grâce à de meilleurs programmes pour retenir les étudiants internationaux.

Les données d’IRCC montrent que le Canada était sur la bonne voie pour établir un nouveau record de permis d’études délivré en 2022 avec 418 260 étudiants internationaux ayant obtenu l’un de ces permis au cours des neuf premiers mois de l’année.

Sur la base de cette tendance actuelle, le Canada était alors sur la bonne voie pour clôturer 2022 avec 557 680 permis d’études délivrés. Cela représenterait 113 200 permis d’études, soit près de 25,5 %, de plus que les 444 480 délivrés en 2021.

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Depuis 2015, le nombre de permis d’études délivrés aux étudiants internationaux venant au Canada a plus que doublé, passant de 219 035 au cours de cette année-là à des niveaux record aujourd’hui.

Les permis d’études permettent aux étudiants internationaux de travailler pendant leur séjour au Canada

Un permis d’études, une fois délivré, permet à un ressortissant étranger d’étudier au Canada dans un institut approuvé pour la durée du cours ou du programme spécifié.

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Il y a des exceptions. Les ressortissants étrangers n’ont pas besoin d’un permis d’études pour aller à l’école au Canada dans les conditions suivantes :

  • le cours ou le programme d’études dure moins de six mois;
  • l’étudiant est un membre de la famille ou du personnel d’un représentant étranger au Canada, ou;
  • l’étudiant est membre d’une force armée étrangère.

Pour être admissible à étudier au Canada, les étudiants doivent :

  • avoir été accepté par une école, un collège, une université ou un autre établissement d’enseignement au Canada;
  • ont prouvé qu’ils avaient suffisamment d’argent pour payer leurs frais de scolarité, leurs frais de subsistance et leur transport de retour pour eux-mêmes et les membres de leur famille qui les accompagnent au Canada.
  • être des citoyens respectueux des lois sans casier judiciaire et ne présentant aucun risque pour la sécurité du Canada. Ils peuvent avoir à fournir un certificat de police;
  • être en bonne santé et disposé à subir un examen médical, si nécessaire, et ;
  • convaincre un agent d’immigration qu’ils quitteront le Canada à la fin de leur séjour autorisé.

UN Visa de résident temporaire (VRT) peut également être exigé si l’étudiant est citoyen d’un pays pour lequel de tels visas sont requis pour entrer au Canada. Ce n’est pas obligatoire pour les citoyens de pays exemptés de visa.

IRCC permet aux étudiants de travailler pendant leurs études au Canada.

Un étudiant peut être en mesure de travailler au Canada pendant ses études dans les catégories suivantes :

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Les époux ou conjoints de fait d’étudiants étrangers sont également admissibles à un permis de travail pour la durée du permis d’études.

Après avoir obtenu son diplôme, un étudiant étranger peut demander un permis de travail en vertu de la Programme de permis de travail postdiplôme. Dans le cadre de ce programme, le permis de travail peut être délivré pour la durée du programme d’études, jusqu’à un maximum de trois ans.

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